mardi 28 mai 2013

Mon petit enfant de compagnie




Auteur - illustrateur : Loïc Méhée
 
Editeur : Les 400 coups
Collection : Grimace
Album dès 5/6 ans - Animaux -
Pages : 32
Parution : Avril 2010












Synopsis :


Pour mon anniversaire, j'ai eu un super cadeau : un petit enfant de compagnie !
Avec moi comme maître, je suis sûr qu'il est le plus heureux de tous les petits enfants de compagnie.
 


Inversons les rôles, et imaginons :

Croc-Croc, un rongeur, fête son anniversaire. De la part de ses parents, il vient de recevoir un SUPER CADEAU : un petit enfant de compagnie !!
 
Croc-Croc l’aime tellement…il le trouve trop mignon et pourrait facilement passer tout son temps à le câliner. Et les câlins, Croc-Croc pense que son petit enfant de compagnie adore ça. Il sait aussi ce qui pourrait lui faire plaisir.
 
Ohh ça... Croc-Croc est convaincu d’être un maître idéal pour son petit enfant de compagnie et fait tout pour qu’il ne s’ennuie pas : il le sort de sa cage, l’emmène dans son sac à dos à l’école, lui donne des supers bonnes croquettes, le regarde tout le temps, le papouille sans cesse.
 
Mais il y a un mais…
 
Le petit enfant de compagnie, lui, ne ressent pas du tout la même chose que Croc-Croc. Et oui, être enfermé tout le temps dans une cage, être regardé sans arrêt même quand il fait ses besoins, courir dans une roue pour faire sourire Croc-Croc… et bien tout cela n’est pas mirobolant, pas joyeux… Il aimerait plutôt qu’on le laisse au calme, tranquille.
 
Souvent, la maman de Croc-Croc lui dit de laisser un peu tranquille l’enfant de compagnie et lui fait comprendre que Croc-Croc n’aimerait pas qu’on lui fasse tout ça à lui et qu’il aimerait plutôt qu’on le laisse tranquille de temps en temps.
 
Alors Croc-Croc va t-il comprendre ce que veut lui dire sa maman et qu'elle a raison… Je crois que Croc-Croc a trouvé une solution et je vous laisse bien entendu découvrir ce que c’est !!
Oh la la, que d’humour dans cet album !!!
J’ai adoré cet humour percutant.
 
Une inversion des rôles pour faire réfléchir les jeunes lecteurs sur la façon dont ils doivent s’occuper de leur animal de compagnie, ce qu’ils doivent faire et ne pas faire.
 
Le récit n’est pas du tout rabajois, au contraire il va parfaitement faire comprendre à l’enfant qu’avec toutes les bonnes intentions du monde, toute la gentillesse qu’il veut apporter à l’animal, et bien parfois celui-ci n’est pas autant demandeur de ces gentilles attentions et qu’il préfèrerait parfois qu’on le laisse un peu tranquille et que l’on évite de lui faire subir quelques expériences.
 
Le style de l’album est adéquat pour les plus jeunes, avec très peu de texte. Juste des phrases courtes à chaque page. La police d’écriture est très rythmée, les mots de chaque phrase ont des polices d’écritures changeantes, des couleurs également différentes. Cela apporte un certain mouvement dans le texte, et certains groupes de mots sont mis en avant car plus importants pour bien cibler l’information importante.
 
Ce que j’ai aimé également dans le style de cet album, c’est le texte qui s’oppose aux illustrations. Je m’explique. En fait, le texte fait plus référence aux pensées de Croc-Croc et les illustrations quant à elles reflètent les sentiments de l’enfant de compagnie.
Exemple : Croc-Croc dit « Je sais EXACTEMENT ce qui fait plaisir à mon enfant de compagnie. » Tandis que l’illustration montre l’enfant de compagnie derrière les barreaux de sa cage, avec dans les mains une pancarte où il est inscrit « Au secours ». Très humoristique ce duo texte et illustrations opposées.
 
Les illustrations sont superbes, j’adore même ! Très vives, colorées, j’adore le coup de crayon qui lui aussi est humoristique. C’est tout en mouvements. Les expressions des visages sont très bien retranscrites.
 
Vous l’aurez compris, j’adore !!!!! et en plus cet album est idéal
 pour faire prendre conscience à l’enfant que les petits animaux
de compagnie ne sont pas des jouets, qu’ils sont vivants,
et qu’il ne faut pas toujours être après et les laisser tranquilles également.
Et qu’ils ont aussi envers eux une certaine responsabilité.
En plus de ça l’humour est au rendez-vous !!!! A découvrir !!!!
Un album à offrir à l’enfant dès lors qu’il demande un animal de compagnie
 de façon à bien faire saisir leur rôle et l’attention juste
 qu’il devra apporter à l’animal de compagnie.
Et la chute est à croquer, humour jusqu’au bout !!!!!!


Livre lu et chroniqué sur mon ancien blog en Mai 2013




mercredi 22 mai 2013

Tante Mame


Auteur : Patrick Dennis
Traducteur : Alain Defosse

Titre original : Auntie Mame : an irrevent escapade

Editeur : France Loisirs
Collection : Piment
Roman - Humour - Aventure - Famille -
Pages : 445
Parution : Février 2011








Synopsis :

Tante Mame est une femme imprévisible, émancipée, sensible aux modes, pleine de fantaisie, animée d'une douce folie, dont la vie est régie par un principe intangible : la liberté. Lorsqu'elle recueille son neveu Patrick, jeune orphelin, ce n'est pas pour l'entretenir dans les convenances ni les conventions, mais pour l'associer à une vie faite d'événements ahurissants, d'humour, lui donnant ainsi une leçon pour la vie : ne jamais céder au découragement. Tante Mame est un étincelant témoignage de l'humour anglo-saxon, nourri de dérision, d'ironie, de fougue, et le lecteur gardera pour seule nostalgie de n'avoir pas eu, lui aussi, une Tante Mame dans sa vie.



New-York, années 20
Tante Mame se voit confier son neveu Patrick Dennis alors âgé de 10 ans devenu orphelin à la mort de son père, le frère de Tante Mame. Celui-ci, mourant, a souhaité confier l’éducation de son fils selon les règles les plus strictes auprès de sa sœur, seule famille restante.
 
Patrick Dennis hérite, à la mort de son père, d’une très belle somme d’argent qui sera gérée par un administrateur jusqu’à sa majorité. Cet administrateur, Mr Babcock aura également un œil sur la vie de Patrick et aura son mot à dire sur l’éducation du jeune Patrick.
 
Mais Tante Mame est bien à l’opposé des règles strictes : le lever du matin ne se fait pas avant 11 heures au moins, elle a un maître d’hôtel Japonais totalement inefficace, elle donne des fêtes tout le temps, etc.
 
Le jeune Patrick va alors découvrir une toute autre vie que celle qu’il avait jusqu’alors, auprès de cette femme fantasque qu’est Tante Mame.
 
Tante Mame, femme fantasque, fêtarde, exubérante, va faire évoluer ce jeune homme qu’est Patrick Dennis dans un mode de vie huppé, intello, et arty (avant-gardiste) New-Yorkais des années 20. Totalement l’opposé de l’éduction qu’il a reçu jusqu’alors auprès de son père qui, à l'inverse, donnait à Patrick une éducation très conventionnelle.
 
Elle a tout d’abord trouvé l’idée d’inscrire Patrick dans une nouvelle école, « divine » d’après Tante Mame,  où tous les cours sont donnés nus. Cette expérience rocambolesque tourne au drame puisque l’administrateur de bien, Mr Babcock, va crier au scandale et va retirer le jeune Patrick de cette école pour l’inscrire dans celle où est son propre fils, une école très stricte.
 
Tante Mame est riche elle aussi, mais elle dépense sans compter en donnant ses nombreuses fêtes, toutes des plus chics et plus prisées par le milieu avant-gardiste de l’époque.
 
Quelques années passent, et l’anticonformiste Tante Mame va faire bourde sur bourde mais son fracassant optimiste va toujours avoir le dessus sur sa maladresse pour la faire relever sans cesse. Tante Mame va perdre beaucoup d’argent, elle compte alors trouver un emploi. Mais ils resteront tous infructueux de par son attitude et de ses maladresses ici aussi.
 
On a l’impression qu’elle est toujours en pleine représentation, toujours en excentricité…
 
Tante Mame va épouser un riche homme « Sudiste » dont elle sera très amoureuse.
 
Et pour l’éducation de Patrick, Tante Mame, a bien l’intention de lui faire découvrir une vie palpitante, exubérante, pleine de situations cocasses. Il va connaître la meilleure éducation, celle de l’extravagance. Le cher Mr Babcock, administrateur de biens de Patrick, n’est pas au bout de ses surprises pour ce qui attend l’éducation de Patrick jusqu’à sa majorité….

J’ai donc enfin parcouru la vie trépidante de cette femme
incroyablement loufoque et exubérante,
mais d’une réelle fraîcheur de vivre.
 
Tante Mame est devenue, au fil du temps, une figure incontournable de la littérature populaire anglo-saxonne. Le livre s’est vendu à 2 millions d’exemplaire et fut adapté de nombreuses fois au cinéma, théâtre et comédies musicales.
 
Elle est incroyable cette femme, un jour elle est milliardaire, le lendemain elle n’a plus un sou en poche ; elle séduit tous les hommes même de très jeunes (cougar avant l’heure) ; elle vit la nuit et dors le jour ; etc. Tellement de qualificatifs pour cette femme à l’humour piquant, d’un grand optimiste, d’une grande liberté, etc, on la qualifie même de « charmante dingue » ce qui lui va très bien.
 
L’histoire se déroule sur plusieurs décennies (des années 20 jusqu’à l’après-guerre des années 50) et on voit évoluer la vie de Tante Mame mais aussi celle de Patrick Dennis qui s’est donc largement inspiré d’une de ses tantes pour ce personnage.
 
Les personnages sont très intéressants entre cette femme extravagante à la vie mondaine et ce jeune garçon qui débarque dans un milieu qu’il ne connaît pas puisqu’il a toujours vécu dans un style de vie très stricte orchestré par son père. Deux opposés qui se rencontrent donne du coup une histoire très riche, pétillante, pleine d’ironie, etc.
Mais j’avoue que, parfois, le caractère de cette femme, Tante Mame, m’a agacée (mais dans le bons sens). C’est parce que parfois, on se dit : une femme pareille s’est pas possible avec tous les impairs qu’elle fait, le gamin a plus la tête sur les épaule qu’elle et on se demande à chaque chapitre ce qu’elle va bien pouvoir faire comme bourde ! Du coup, certains chapitres m’ont un peu moins emballée. Mais tant d’autres fois, cette femme m’a fait rire et puis surtout c’est une femme qui ose donner son opinion et qui les défend. C’est une femme pleine d’humanité. Et puis, elle se sort de ses maladresses toujours avec brio et légèreté.
 
Le style est agréable, c’est bourré d’humour anglais, c'est truffé de situations toutes des plus invraisemblables. C’est riche en vocabulaire.
 
Avec les nombreuses adaptations au cinéma, j’ai donc très envie maintenant de les découvrir. De nombreuses femmes sont entré dans la peau de Tante Mame dont Gingers Rogers ou bien encore Angela Landsbury (Miss Marple, si si).
 
 
Un roman frais, bourré d’humour anglo-saxon, vintage,
à déguster avec un cocktail daiquiri !!
 


Roman lu et chroniqué sur mon ancien blog en Mai 2013


Struck, comment foudroyer sa réputation en un éclair






Auteur : Chris Colfer
Traducteur : Yan Brailwosky

Titre original : Struck by lighting - The Carson Phillips Journal

Editeur : Michel Lafon
Roman ado - Lycée - Journal littéraire - Journal intime - Adolescence - Humour -  
Pages : 301
Parution : 16 mai 2013










Synopsis :
 
Carson Phillips est prêt à tout pour entrer dans la fac de ses rêves… et par la même occasion, laisser derrière lui une mère dépressive et une ville misérable. Même s’il lui faut, pour appuyer sa candidature, lancer seul un magasine littéraire. Malheureusement pour lui, les étudiants ne semblent guère capables d’écrire autre chose que des textos. Qu’à cela ne tienne, l’adolescent est aux aguets, et surtout il n’a plus rien à perdre. Après tout, qu’arriverait-il si le beau gosse du lycée apprenait que sa petite copine pom-pom girl couche avec le coach dans son dos ? Ou que la première de la classe n’hésite pas à envoyer des photos d’elle nue à n’importe qui sur Internet ? Pour parvenir à ses fins, Carson a une nouvelle stratégie toute trouvée : il se transforme en maître chanteur. Mais à force de jouer les corbeaux, ne risque-t-il pas de se brûler les ailes ?



Clover, le 30 septembre 2012

Carson Phillips entame à cette date son journal intime.
Première phrase : « Cher Journal, Plus qu’une année à tirer avec ces connards et je serai libre. »


Carson n’a qu’une chose en tête : quitter cette ville, Clover, qui pour lui est au fin fond du trou du cul du monde et où il n'y a que des "nullos". Son souhait le plus cher est d’intégrer l’Université de Northwestern afin de devenir un brillant journaliste au NY Times.
 
De parents divorcés, Carson vit avec sa mère totalement dépressive et ne travaillant plus, qui regarde la télé du matin jusqu’au soir en compagnie de ses bouteilles d’alcool. Tous les soirs, il rend visite à sa grand-mère (la personne qu’il aime le plus) atteinte de la maladie d’Alzheimer. Il ne voit plus son père qui a déménagé loin de la famille.
Et au lycée, ce n’est pas top non plus. Pas d’ami et souvent critiqué, élève brillant et ambitieux, Carson est le rédacteur d’un journal au lycée, le Clover High Chronicle, journal que personne n'achète si ce n’est pour une utilisation autre que celle d’en faire la lecture. Au sein de Clover High School, Carson est en somme le mouton noir…

 
Si bien qu’avec cette vie, Carson en est devenu un peu amer et a développé un humour très sarcastique. Ce qui l’a aidé à traverser cette solitude qui le suit depuis un petit moment, c’est l’écriture. L’écriture le libère.
 
Carson ne s’en fait pas trop pour qu’il soit accepté par l’Université de Northwestern, il a une carrière scolaire des plus exemplaires, a réussi à maintenir en vie un atelier d’écriture et dirige quasi à lui seul le Clover High Chronicle.  
Mais pour qu’il ait toutes ses chances d’avoir une réponse favorable et plus rapide aussi, sa conseillère d’éducation lui apprend qu’il doit faire parvenir à l’Université de Northwestern un recueil de poèmes ou bien un roman ou encore un magazine littéraire. Carson n’étant ni poète ni écrivain, il va donc monter un magazine littéraire. Mais il ne doit pas en être le seul rédacteur, il doit persuader d’autres lycéens de l’accompagner dans cette aventure qu’est de monter un magazine littéraire, et de ce fait cela montrerait qu'il sait gérer une équipe.

 
Le problème pour Carson est que sa cote de popularité est au plus bas… Comment faire alors pour persuader ceux qui ne l’aiment pas, à venir s’intégrer à son projet… Déjà que personne ne souhaite venir dans son atelier d’écriture…  
Un évènement particulier entre 2 élèves ainsi que sa seule amie, Malerie, viendront alors lui donner l’idée de faire du chantage auprès des élèves les plus populaires du lycée. Menacer l’entraîneur de foot, la leader des pom-pom girls, etc, sur des petits secrets les concernant et que Carson a découvert. Il doit alors se dépêcher pour persuader ses cibles et leur demander ensuite d’écrire un texte pour son magazine littéraire. La date limite pour les candidatures anticipées à Northwestern étant le 15 novembre.
 
Très peu de temps pour Carson, mais à force de jouer au méchant il risque fort de se brûler les ailes...



 

Voici un roman young adult qui m’a beaucoup séduite.

 
 
N’ayant pas beaucoup entendu parler de ce roman avant sa sortie en France, j’ai tout d’abord été intriguée par ce roman écrit par un jeune auteur et qui plus est, comédien. Je connaissais le comédien, Chris Colfer, qui incarne Kurt dans la série Glee que j’ai pu suivre assez souvent d’ailleurs. Intriguée donc sur le fait qu’il soit aussi écrivain et curieuse de voir ce que cela valait, je l’avoue. Et bien, je ne suis pas mécontente d’avoir pu découvrir ce roman car je l’ai très apprécié.
 
Un thème simple : comment survivre au lycée quand on a peu d’amis et que l’on est plutôt pris pour le mouton noir de l’établissement, mais aussi lorsque l’on a une vie peu attrayante. Le personnage du livre est en effet doté d’une vie peu trépidante… Parents divorcés, mère dépressive et alcoolique, grand-mère atteinte de la maladie d’Alzheimer et placée dans un établissement, et peu d’amis à qui se confier.

Un thème qui va forcément parler aux ados lycéens.
 
N’étant plus lycéenne depuis un bail, j’ai pourtant dévoré ce roman. On est vite pris par l’ambiance et difficile de se défaire de cette lecture avant d’en avoir fini avec la dernière page. Il se lit donc facilement, est bien écrit, l’histoire est bien menée et puis on se prend d’attache pour les personnages. Il y a aussi une fin à laquelle on ne s’attend pas du tout, très surprenante, sacré rebondissement donc l'auteur sait y faire du côté des surprises.
 
On se prend d’amitié pour le personnage de Carson Phillips, sa vie un peu « misérable » on doit bien le dire et j’ai aimé l’ambition de cet ado (17 ans) pour son souhait le plus cher qui est de devenir un journaliste mais pas n’importe lequel, journaliste au NY Times. Donc beaucoup d’ambition oui, et très brillant. Et pour cela, il est donc prêt à tout, même à faire du chantage auprès de ses camarades pour qu’ils écrivent dans son magazine littéraire qu’il doit créer pour obtenir son entrée à l’Université de Northwestern. Outre son ambition, j’ai aimé également son caractère. Ado devenu un peu aigri par la vie qui l’entoure et qui du coup en est devenu cynique et surtout doté d’un humour sarcastique bien tranchant. Bon, je comprendrai également qu’on puisse du coup le détester aussi.
 
Qui dit personnage à l’humour sarcastique dit beaucoup d’humour dans l’écriture. Chris Colfer nous donne donc un personnage qui n’a pas sa langue dans sa poche que ce soit auprès des profs ou camarades, il dit ce qu’il pense et ce que tous les autres lycéens pensent eux tout bas sans oser lever la voix. On rit beaucoup à lire ce texte grinçant, percutant, rempli de sarcasme et d’immoralité.
 
Les autres personnages sont tout aussi intéressants par le fait que l’auteur Chris Colfer en a fait des personnages assez clichés des Etats-Unis : l’entraîneur de foot, la leader des pom-pom girls, la gothique, la reine du bal, le fils à papa, le sportif écervelé, etc.
 
Le livre en tant qu’objet est très sympa. Il est présenté sous forme de journal intime et le roman débute par « Cher journal ». Chaque chapitre est découpé par date (présente en haut de chaque chapitre). La pagination en bas de page est suivie d’un éclair que l’on retrouve également sur la couverture avec ce crayon de bois cassé, ainsi que dans le titre du roman. Et puis, à l’intérieur du roman, plutôt vers la fin, on peut voir des pages noires et je vous laisserai le soin de découvrir de quoi il s'agit lorsque vous lirez ce livre.
 
A noter également que ce roman est adapté en film. Avec dans le rôle de Carson Philips, l’auteur lui-même, Chris Colfer qui est donc le scénariste du film.
 
Beaucoup de choses à dire sur ce roman.
 
Très belle découverte, je ne pensais pas autant m’amuser
avec cette lecture pleine d’humour mais aussi de douleur
au fond du personnage principal. Mais je pense que cette lecture,
soit on l’appréciera beaucoup si on aime cet humour sarcastique,
soit si l’on n’aime pas cette humour caustique et malicieux
on appréciera moins le personnage...
 
 
 
 
 Livre lu et chroniqué sur mon ancien blog en Mai 2013