mercredi 5 mars 2025

On ne meurt pas la bouche pleine

 



Tokyo, deux cadavres d'hommes empoisonnés par une substance indécelable. Deux cadavres qui embarrassent la police nippone. 

Tandis qu'en France, Achille Simmeo est chargé d'élucider la mort d'un riche Japonais, lui aussi empoisonné par une substance inconnue. 

A priori, ces assassinats n'ont rien à voir entre eux, mais Simmeo, au 36, Quai des Orfèvres, va bien être obligé de travailler avec son homologue japonaise, aux méthodes bien différentes des siennes.

Lorsqu'un thriller mélange cuisine moléculaire et mafia japonaise.

Deux cultures bien différentes et une intrigue intéressante avec un thriller écrit à quatre mains, Odile Bouhier, autrice, et Thierry Marx, Chef cuisinier Français que l'on ne présente plus.

On se laisse entraîner entre Tokyo et Paris où se déroule l'intrigue. J'ai aimé me retrouver plongée dans deux cultures différentes avec une intrigue qui a su se façonner un cadre intéressant entre une cuisine moléculaire qui tient ici une place importante, et des traditions japonaises à découvrir. On se retrouve dans l'univers de la mafia japonaise, l'univers des Yakuzas, et de coutumes ancestrales.

J'avoue par contre que le début du thriller m'a un peu perdue car par habituée aux sonorités japonaises notamment au niveau des noms des personnages rencontrés. Et puis, il se passe aussi beaucoup d'événements au début du thriller, des sous-intrigues qui peut-être sont un peu trop présentes, mais une fois passé ce cap, on se prend alors dans l'intrigue. 

Cuisine moléculaire = papilles en exercice à la lecture de ce thriller, bien que attention à votre vie !! 😉

Intrigue écrite à quatre mains, et Thierry Marx apporte beaucoup sur l'univers de la cuisine moléculaire et j'ai trouvé ça très intéressant. 

En somme une enquête originale dont j'ai aimé le dénouement, intrigue qui nous laisse partir 
à la découverte d'une autre culture.


1 commentaire:

Merci de votre passage sur le blog !