mercredi 28 mai 2025

Les carnets de Cerise - Tome 1 : Le zoo pétrifié

 




Il était une fois Cerise, 10 ans et demi, qui rêve de devenir romancière.

D'ailleurs son journal intime, elle l'a commencé comme ceci : "Il était une fois...". 

Et son truc à elle, c'est d'écrire des histoires sur les gens et pour cela elle observe justement les gens, elle imagine leur vie et leurs secrets. En ce moment, avec ses copines, Line et Erica, elles observent quelqu'un de très mystérieux. 

Cerise est fin prête pour ses investigations afin de découvrir ce que cache le vieil homme qui se rend en forêt régulièrement, et toujours avec des pots de peinture au bout des bras... Que peut-il bien faire en pleine forêt avec des pots de peinture ? Cerise est bien décidée à le découvrir.

Il était une fois... le début de nombreux contes. 

J'aurais adoré avoir en main cette bande dessinée issue de la série Les carnets de Cerise lorsque j'étais enfant. 

C'est une jolie découverte avec cette BD jeunesse et ce 1er tome de la série. Je comprends les nombreux avis positifs que j'ai pu voir passer autour de cette série. 

Cerise et ses amies sont attachantes. J'ai aimé suivre leur péripéties au coeur de la nature, et toujours sur un fond de bienveillance. 

Les planches de dessins sont très agréables avec des illustrations magnifiques, mais aussi un mélange de pages du carnet intime de Cerise, pages intégrées ici et là entrecoupant les planches de la BD. Cela apporte une certaine diversification à la lecture de la BD. 
Les illustrations sont très jolies, fraîches, poétiques. Les décors sont superbes et chaque détail est à observer. J'ai beaucoup aimé aussi la coloration des planches. 

Les messages sont humains avec beaucoup d'entraide au coeur des messages. C'est drôle, et on ne peut qu'apprécier l'histoire et l'intrigue de ce tome 1. On retrouve de belles valeurs comme l'entraide, l'écoute...

Vous l'aurez compris, c'est une très belle découverte avec cette BD jeunesse.


lundi 26 mai 2025

La diagonale des reines

 



Deux femmes. Deux destins. Deux visions totalement opposées du monde. Deux génies du jeu d'échecs. 

L'une croit en l'individualisme : Monica. L'autre croit en la force d'un groupe : Nicole. 

Leur duel est inévitable. Elles vont s'affronter sans merci à la fois autour d'une table de jeu d'échecs, et cela, dès leur 1ère rencontre alors qu'elles ne sont qu'adolescentes, génies des échecs. 

Mais elles vont également s'affronter sur un terrain de jeu qui s'étend aux quatre coins de la planète devenue un échiquier géant, à taille humaine pour l'une et pour l'autre. En soif d'une bataille l'une envers l'autre, au-delà d'un jeu d'échec simple. Pour elles, les humains sont les pièces du jeu. Le duel ne fait que commencer, en 1970, et durera jusqu'en 2050, entre guerres, attaques terroristes et espionnage.

Et si vous n'étiez qu'un pion entre leurs mains ? 

Laquelle aura l'avantage ? Celle qui croit en l'individualisme ou bien celle qui croit en la force d'un groupe ? 

Enorme plaisir à lire ce thriller philosophique et psychologique. 

La diagonale des reines ou un duel intellectuel et physique entre deux femmes... Et quel plaisir de se plonger dans cette lecture qui nous entraîne de 1970 à 2050. 

Que de tension palpable tout au long du roman avec un côté captivant que j'ai beaucoup apprécié. D'abord un duel de 2 adolescentes autour d'un échiquier lors d'une compétition mondiale. Puis un réel affront à travers les âges, entre ces deux femmes que tout oppose. Ce sont deux génies et pas que pour les échecs. Ce qui les différencie : l'une croit en l'individualisme tandis que l'autre croit en la force d'un groupe. 

A partir de là, le roman explore des sujets très forts, de stratégie mondiale, de sociologie, de psychologie, représentés par des conflits internationaux, des guerres, des enjeux mondiaux à chaque époque que l'on va traverser entre 1970 et 2050. 

J'ai trouvé l'intrigue captivante avec ce duel à taille humaine où les humains ne sont que les pions de ces deux femmes, un brin surhumaines il faut l'avouer avec toutes les aventures qu'elles vivent... 😊

Deux tactiques différentes pour l'une et pour l'autre. Quelle est la meilleure pour parvenir à ses fins ? On le découvrira au fil de la lecture...

Les moindres détails ont leur importance dans ce roman, jusque dans les prénoms choisis pour les 2 protagonistes féminines et bien sûr Bernard Werber ne manque pas de nous l'expliquer au coeur de l'histoire. On peut retrouver la superbe plume de Bernard Werber. Il s'est servi de faits historiques connus depuis 1970 pour explorer les stratégies de l'une et de l'autre. C'est incroyablement bien réalisé. 

Une lecture qui amène à réflexion. 

Un très bon moment livresque, palpitant, jusqu'à un final vraiment adéquat. 


vendredi 23 mai 2025

L'enterrement de Serge

 




En l'église du Creusot, le 1er juillet à 13h, se déroulera l'enterrement de Serge Blondeau, 64 ans, suivi de l'inhumation au cimetière de Tusy. 

A l'enterrement de Serge, il y a très peu de monde à avoir le déplacement pour l'accompagner lors de son dernier voyage. En plus de ça, l'avis d'obsèques n'a pas été publié en temps et en heure...

De présent, il y a Gilberte, sa mère, qui y fera une annonce importante. Elle est venue accompagnée d'une voisine.

Il y a Brigitte, la soeur du défunt, qui n'est venue que pour écouter l'annonce importante de sa mère. Espérant par là, récupérer la maison familiale. Sans cette annonce importante annoncée, elle ne serait pas venue. Pour son frère, elle n'a eu que peu d'estime lui ayant trouvé une vie plutôt misérable à son goût, avec un travail qu'elle lui a trouvé peu épanouissant à savoir conduire le minibus d'un ehpad, et puis elle n'a jamais voulu rendre visite à son frère dans son mobil-home. 

Il y a Bernard, le beau-frère du défunt et mari de Brigitte, qui n'a comme conviction à assister à cet enterrement que de pouvoir y récupérer les 400 Francs qu'il a prêté au défunt en 1998.

Et puis, il y a Dédé, un ami, et une poignée d'autres personnes... à peine 12 personnes en tout plus les préposés aux pompes funèbres qui seront de la partie. 

Comédie satirique.

Vous n'allez pas me croire mais assister à cet enterrement va vous faire sourire. Sourire car l'auteur dépeint incroyablement bien une satire sociale avec des caricatures formidables.

Un roman choral qui fait sourire car en l'église du Creusot et l'inhumation au cimetière de Tusy, rien ne vas se passer comme il le faudrait. Un imprévu va obliger chacun à dormir sur place dans des conditions atypiques qu'il va falloir supporter. Et durant cette soirée et cette nuit, les caractères de chacun vont se révéler. Et chaque personnage est une caricature fantastique. Donc on va assister à une satire sociale très drôle. 

Dans cette famille, certains trouvaient le mort misérable, d'autres l'appréciaient beaucoup. Certains sont là que pour récupérer quelques billets prêter il y a 30 ans. D'autres sont là, espérant pouvoir mettre la main sur un bien...
Tantôt on rit, tantôt on est ému par ceux qui appréciaient l'homme, c'est très bien croqué et les dialogues sont bons pour cette comédie sociale. On a un joli panel de membres d'une famille.

L'enterrement est le plus incongru auquel on assiste et j'ai aimé me laisser distraire par cette lecture. C'est léger et l'histoire est vraiment bien menée. Le roman est court et la lecture facile. 

Une comédie familiale satirique qui m'a fait passer un très bon moment. 



Du même auteur : Clara lit Proust





lundi 19 mai 2025

Les oubliés du dimanche

 




Justine Neige, 21 ans, est aide-soignante et travaille dans la maison de retraite Les Hortensias. Elle a été élevée avec son cousin, Jules, par ses grands-parents. Jules, qu'elle considère comme un frère. Le seul jeune qu'elle ait fréquenté car sinon Justine a grandi avec le troisième âge. 

Et justement, dans la vie, Justine aime deux choses : la musique et le troisième âge.

Pour la musique, elle se rend un samedi sur trois au Club Paradis pour y danser. Pour le troisième âge, elle est passionnée par son travail. 

Parmi les pensionnaires des Hortensias, il y a Hélène. 

Toutes les deux se livrent l'une à l'autre. La vie d'Hélène est un roman, témoin de la Seconde Guerre mondiale, elle va se livrer sur sa rencontre avec Lucien en 1933, leur amour, la guerre, le juif Simon planqué dans la cave, la trahison, la Gestapo, la déportation. De l'autre, il y a Justine qui s'ouvre peu à peu sur le drame de son enfance, celui qu'elle ne peut jamais aborder chez elle. 

Justine glane petit à petit à la vieille dame de lourds secrets et finit par affronter ceux de sa propre famille.
Personnages attachants.

Valérie Perrin, je l'ai découverte avec la lecture de son roman "Trois" que j'avais adoré. Mais je n'avais encore jamais lu son 1er roman "Les oubliés du dimanche". C'est chose faite et je viens de lire et de refermer un roman très humain.

Valérie Perrin partage le quotidien d'une maison de retraite, avec parfois ceux que l'on nomme : les oubliés du dimanche. Ceux qui ne sont jamais visités. Il y a une petite intrigue qui tourne autour de ces oubliés... des choses se passent au sein de la maison de retraite Les Hortensias... mais je n'en dirais pas plus. 

On découvre dans cette très belle histoire, un partage entre Justine, une jeune femme de 21 ans, qui compte parmi les soignants de la pensionnaire Hélène. Se révélant l'une à l'autre, au fil de la lecture, diverses émotions entrent en nous. 

La plume est sensible, pleine d'humanité. L'histoire d'Hélène est bouleversante. Celle de Justine aussi, mais j'ai été beaucoup plus touchée par l'histoire d'Hélène pendant la Seconde Guerre mondiale.  Un roman dense en événements, on ne s'ennuie pas un seul instant. 
Une plume qui nous entraîne dans des moments émouvants, parfois des moments drôles. C'est toujours bienveillant, empreint d'humanité et lorsque l'on referme le roman on apprécie d'avoir fait la connaissance d'Hélène et de Justine.

Ah et puis il y a une mystérieuse mouette tout au long du roman.... je vous laisse découvrir. 

Un roman sur la mémoire, la transmission. 


jeudi 15 mai 2025

Un dîner à Sandycove

 




C'est dans un charmant petit village irlandais, dans la baie de Sandycove, que vit Roisin Kelly. Elle pensait avoir trouvé le bonheur en épousant Brody Brady, journaliste qui a décidé d'écrire le chef-d'œuvre de sa vie. Roisin a épousé Brody très rapidement après leur rencontre, pensant avoir trouvé l'homme de sa vie, contrairement à tous les conseils prodigués par ses amis et sa famille qui lui ont toujours dit de ne pas se précipiter pour un mariage. 

Un an de mariage après, Brody se comporte auprès de Roisin comme un locataire que l'on doit servie en repas, mais aussi materner quand ça ne va pas, laver son linge, débarrasser ses tasses vides sur son bureau...de son antre dans lequel Roisin n'a le droit de rentrer que pour y faire un brin de ménage. Brody est obsédé par l'écriture de son roman qu'il doit bientôt rendre, et au titre d'être pris par l'écriture de son roman, Roisin se retrouve seule depuis leur mariage à devoir assumer tout le quotidien. Jamais un mot gentil de la part de Brody, jamais de sorties, Brody vit en ermite au profit de son roman, et profite largement de Roisin notamment pour lui cuisiner de bons petits plats. Car en effet, Roisin a une passion pour la cuisine et elle a un talent fou.

Alors quand les meilleurs amis de Roisin, Jools et Richard, l'embarquent dans un projet de dîners caritatifs, elle se laisse prendre au jeu bien que cela ne soit pas au goût de Brody. 

Mitonner de bons petits plats c'est son truc, Roisin est douée pour ça et puis ça lui apporte un plus dans sa vie. 

Mais à coté de ça, rien ne va dans sa vie, ni dans son couple, ni dans son emploi avec une collègue qui en vient un brin à du harcèlement au point de faire remarquer la moindre petite incartade de Roisin dans son travail. Roisin n'est pas au bout de ses surprises.

Mais parfois, c'est quand vous pensez que la vie n'a plus rien à vous offrir que tout peut basculer...
J'ai tout aimé !

Parlons tout d'abord de cette magnifique couverture créée par Les infusettes. Elle nous donne littéralement envie de plonger dedans et elle est à l'image parfaite du roman.

J'ai été transportée dans ce petit village irlandais, dans cette baie de Sandycove où on y ressent une vie paisible et un décor charmant. 

J'ai tout aimé, oui. Les personnages attachants, ceux que l'on a envie d'étriper aussi. Ils sont tous magnifiquement croqués et chacun apporte beaucoup à l'histoire. Roisin est un personnage peu sûre d'elle, on a souvent envie de lui faire ouvrir les yeux sur son mariage, sur ce qu'elle ne devrait pas subir des exigences de Brody, son mari. On a envie qu'elle vive une vie plus paisible, qu'elle arrête de donner aux autres, qu'elle se sente à l'aise dans sa vie et son travail, qu'elle profite de sa passion pour la cuisine qui la rend heureuse. 

Parlons cuisine d'ailleurs. J'ai aimé les recettes de cuisines mitonnées par Roisin.

Les décors sont charmants comme je vous le disais, à l'image de la couverture. On a envie d'y plonger, on a envie de passer du temps dans les jardins cités. Parfaitement retranscrits par l'autrice, Irlandaise, pour que l'on imagine idéalement les scènes de vie.

L'histoire démarre lentement et puis d'un coup, on n'a plus envie de lâcher le roman.

Les dialogues sont amusants. L'histoire est bienfaisante, mêlant amitié, famille, amour, emploi... Tout au long du roman, on retrouve une certaine chaleur qui fait du bien grâce aux mots de l'autrice. 

Un roman idéal en cette période du printemps ou de l'été, car on passe beaucoup de temps en extérieur tout au long du roman et c'est très agréable.

Un roman réconfortant, et la fin promet certainement une suite.


Merci aux Editions Prisma pour cette lecture


lundi 12 mai 2025

Blackwater III - La maison

 



Suite de série

Perdido, 1928.

Je prends toujours autant de plaisir à lire cette saga matriarcale emprunt de ce soupçon de fantastique. 

L'épique saga de la famille Caskey me captive toujours autant avec sa guerre sans merci entre la matriarche, Mary-Love Caskey, et sa belle-fille, Elinor. 

Je ne détaillerai rien du contenu de ce tome 3 pour ne rien vous dévoiler, simplement qu'ici une maison tient le rôle principal de cet opus. Une maison à l'atmosphère oppressante, je n'aimerai pas y vivre d'ailleurs... L'impression qu'en pleine nuit, elle pourrait m'engloutir...

On assiste à un feuilleton familial passionnant : manigances en tous genres, conflits familiaux, ressentiments...

Ajoutons à cela ce soupçon d'univers fantastique... et je reste captivée par ma lecture.

Une lecture qui, d'ailleurs, défile à vitesse grand V entre mes mains, tellement je suis prise dans l'histoire. 

La trame de l'histoire est toujours aussi passionnante et se poursuit bien dans son évolution ici dans ce tome 3.

Le prochain opus m'attend bien sagement dans ma pile à lire, hâte de découvrir la suite des aventures.

Toujours aussi fan de ces splendides couvertures de la maison d'édition. J'aime y passer la mains sur ses reliefs...livre objet de toute beauté. 

Avez-vous déjà succombé à cette série à la fois historique et à la fois fantastique ?


Blackwater - Tome 1 : La crue
Blackwater - Tome 2 : La digue


mercredi 7 mai 2025

Mort d'une libraire

 



Londres. Roach travaille comme libraire à la librairie Spines, elle gère le rayon True Crime d'une main de maître. Roach est plutôt solitaire, n'a pas d'ami, elle est accro aux meurtres non élucidés, elle écoute des podcasts, lit des livres True Crime, etc. Et son autre passion : ce sont les escargots, dont un qu'elle a en animal de compagnie.

La librairie Spines est en déclin, si bien qu'un beau jour débarquent de nouveaux libraires pour une reprise de la dernière chance. 

Parmi eux, il y a Laura, une jolie jeune femme qui a tout pour elle, c'est une employée modèle, elle est amicale avec ses collègues mais aussi avec les clients, elle est toujours là pour conseiller, et puis elle est poète à ses heures perdues. Un vrai rayon de soleil face à la sombre Roach. Laura arrive à redonner un certain peps à la librairie. Roach reconnaît en elle une âme soeur inattendue... 

Entre elles s'instaure un jeu de fascination et de répulsion. Laura préfère, elle, garder ses distances vis à vis de Roach, mais cela ne décourage par Roach de fouiller dans la vie de Laura. Jusqu'à aller trop loin...

Un roman noir atypique. 

Et j'ai aimé ce roman sombre teinté de dialogues ou scènes assez drôles.

Un roman qui m'a tenue en haleine dès que j'ai mis le nez dedans. C'est addictif jusqu'à temps qu'on le termine et on est plus de cela pris par surprise grâce à son final bien pensé. 

Le récit alterne les chapitres entre Laura et Roach, et apporte ce côté passionnant au roman avec les deux perspectives des héroïnes du roman. Ces deux jeunes femmes, Laura et Roach, sont très intéressantes, on a l'ombre et la lumière, les deux opposés, et pourtant...

Et cette opposition de caractère dans ces deux personnages est vraiment intéressant à suivre.

L'intrigue est passionnante même si je souligne quelques longueurs, qui ne font pas défaut non plus au roman. Le décor de la libraire est idéal pour tout addict à la lecture, car beaucoup de scènes dans ce roman se déroulent dans le décor de la librairie. 

Les thèmes abordés sont intéressants, beaucoup de psychologie ici. L'autrice montre également l'envers du métier de libraire, les contraintes du métier ne sont pas épargnés (le travail tard la nuit à l'approche de Noël). Alice Slater met au coeur du roman le True Crime, genre de polar documentaire d'histoires criminelles vraies. Le True Crime, que l'on voit émergé d'ailleurs en France depuis quelques années.
Dans les thèmes abordés par l'autrice, il y a la fascination et l'obsession. La fascination sur une personne. L'obsession du True Crime. Obsession qui peut être dangereuse... Côté psychologique c'est captivant. 

Les dialogues sont bons, et ce roman noir est abordé d'une façon original sur bien des points. 

Une belle découverte. 




lundi 5 mai 2025

Bilan lecture - Avril 2025

 


Bonjour à toutes et à tous, 


Qui dit début de mois dit bilan mensuel livresque. 
Un mois avec sept lectures, cinq romans, un roman graphique, et une BD jeunesse.


Voyons cela en détail :  


Les carnets de Cerise - Tome 1 Le zoo pétrifié, de Joris Chamblain et Aurélie Neyret. Enfin j'ai découvert cette série jeunesse et j'ai beaucoup aimé cette BD à la fois sur l'histoire et ses messages et à la fois sur les dessins magnifiques et poétiques. Contente d'avoir enfin fait cette lecture. (Chronique en préparation)

Chambre 128, de Cathy Bonidan. Je suis totalement passé à côté de cette lecture et j'en suis désolée car j'avais adoré l'un des romans de Cathy Bonidan "Victor Kessler n'a pas tout dit", mais là avec Chambre 128 qui est un roman épistolaire, je suis totalement passé à côté et je l'ai lu en travers à partir de la moitié du roman... Je ne le chroniquerai pas car je pense que cela n'était pas le bon moment pour en faire sa lecture. Peut-être je renouvellerai plus tard.

Dans le murmure des feuilles qui dansent, d'Agnès Ledig. Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu de roman de l'autrice, et quel plaisir de retrouver ses mots. L'émotion est présente tout au long du roman. (Chronique en préparation)

L'enterrement de Serge, de Stéphane Carlier. Une caricature satirique d'une famille lors d'un enterrement. Un bon moment lecture où l'on sourit alors que l'on assiste à un enterrement. (Chronique en préparation)




Un dîner à Sandycove, de Sian O'Gorman. Direction l'Irlande avec ce roman dans un cadre qui m'a totalement charmée. 
J'ai tout aimé, les personnages, l'histoire, le cadre. 
(Chronique en préparation)


Trois chardons, de Cécile Becq. Un joli roman graphique d'un peu plus de 120 pages. Direction l'Ecosse cette fois-ci, et plus précisément l'île de Skye. Les messages sont intéressants, et les illustrations magnifiques. 
(Chronique en préparation)

Les guerriers de l'hiver, d'Olivier Norek. Mon coup de coeur du mois. Je n'ai qu'un mot, magistral. Une écriture descriptive pour mettre en avant des hommes qui sont tombés dans l'oubli. Les guerriers de l'hiver, une guerre qui opposa la Finlande à l'URSS en 1939. (Chronique en préparation)






De belles lectures au cours de ce mois, hâte de voir ce que mai me réserve. 
Et vous côté lecture, le mois d'avril vous a permis de faire de belles découvertes ?